Il a bousculé un copain à la récréation, papoté avec sa voisine ou encore exercé ses talents d’artiste sur les vêtements d’un comparse.
Parce qu’il a fait une bêtise certes avouable mais répréhensible, le jeune espiègle de sept ans, condamné à méditer sur sa condition, est assis là, sur ce que son maître nomme joliment la chaise du Penseur…
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